Biographie

Qui SUIS-JE ?

Officier des troupes de Marine à la retraite depuis 1993, j'ai planté mon dernier wigwam à Menthonnex-sous-Clermont, une charmante petite commune de la Haute-Savoie, non loin d'Annecy. Je consacre aujourd'hui la plus grande partie de mes loisirs à la photographie.

L'aventure a commencé en 1958 avec un folding 6,5 x 11 Voigtländer. Depuis, tout ce qui touche à l'image m'a paru digne d'intérêt. Les pistes ont été nombreuses et incroyablement variées. Elles vont du travail en laboratoire (sels d'argent, ferrotypie, platine-palladium, etc.) à la transmission d'images par voie herzienne (SSTV) en passant par la projection en relief (stéréo) et la piézographie pour le noir et blanc.

Pour les collectionneurs, les étudiants en photographie et les utilisateurs de Photoshop, j'ai regroupé dans un glossaire les mots et les expressions franco-anglaises portant sur la photographie, ce qui représente un peu plus de 3000 termes et expressions utiles. Ce glossaire est libre de droits ; vous le trouverez au format HTML, EXCEL, TEXTE et PDF.

J'invite les débutants à passer un peu de temps sur les tutoriels mis en place à leur intention. Comme il faut vivre avec son temps, ils sont largement consacrés à la photographie numérique.

 

Henry CARTIER-BRESSON Henry CARTIER-BRESSON Henry CARTIER-BRESSON
Je suis...clic !    
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LE MATERIEL UTILISE

Il se distingue par son caractère hétérogène. Faire cohabiter deux systèmes (reflex et hybride) n'est pas une mince affaire.

Lorsque FUJIFILM a mis sur le marché sa gamme GFX, je faisais partie des Nikonistes accrochés bec et ongles à la marque jaune depuis des lustres (années 60). En 2018, Nikon annoncait l'obsolescence de sa célèbre monture "F", que beaucoup croyaient gravée dans le marbre pour l'éternité, donc la fin implicite des boîtiers reflex. Les choses n'ont pas été dites de cette façon, mais appelons un chat un chat. On remarquera au passage que les modèles se terminant en "6" portent régulièrement malheur chez Nikon : le F6 a marqué la fin de l'ère argentique et le D6 celle des boîtiers reflex. Dans cet étrange concours de circonstances, bien courageux sont ceux qui se sont équipés d'un Z6 à sa sortie.

Après avoir analysé les différentes options du moment (dos numérique Phase one pour Mamiya, Hasselblad, Sony, Pentax, etc.), j'ai eu la chance de tomber sur un stand Fujifilm très bien équipé au salon de la photographie de Genève en 2018. Et de pouvoir essayer en toute liberté les différents modèles proposés. Le coup de foudre a été immédiat : ce GFX 50R avait les doux yeux de Chimène et savait se servir de ses appâts. Le plus traitre d'entre eux étant, pour l'amateur de N&B que je suis, l'implémentation dans son firmware d'une simulation du film ACROS qui permet de transformer le bruit numérique généralement rond des APN en un un grain très proche de la structure tabulaire des pellicules les plus récentes. Suivez ce lien, grossissez l'image en cliquant trois fois sur la tasse de café pour zoomer, vous comprendrez plus facilement ce dont je veux parler. Le bruit artificiellement poussé ressemble à des agglomérats d'halogénure d'argent.

A partir de là, la messe était dite. Deux mois plus tard, j'avais vendu mon D4s, un superbe Nikkor 200-400mm F/4, un Nikkor 50mm F/1.2, ainsi que tout un tas d'objectifs de moindre valeur, pour épouser Chimène. Avec un 32-64mm, un 120mm macro et un 100-200mm dans la corbeillle de la mariée. A un ami qui voulait comprendre les raisons de ma "désertion", j'ai envoyé ma toute première photo que vous pouvez voir ici. Prise à deux pas de chez moi sous la pluie, elle ne vaut pas grand-chose sur le plan photogénique, mais la grimpette à 12800 ISO a été la meilleure explication que j'ai pu lui donner. Là encore vous pourrez zoomer dans la photo jusqu'au grossissement à 100%.

 

COTE pile

Nikon D5

J'ai vite racheté un Nikon D5 pour remplacer mon D4s parce que je ne pouvais pas tout faire avec mon GFX du fait du temps de latence de l'obturateur beaucoup trop important en photographie ultra-rapide.

 

COTE FACE

GFX 50R

Le GFX 50R de Fujifilm est une pure merveille sur le plan des capacités, de la qualité des images et du prix. Un seul bémol, les menus implémentés dans le système sont un véritable casse-tête sur le plan ergonomique. J'ai mis quelques exemples de photos choisies pour leur diversité dans ce petit livret. Je vous laisse découvrir l'excellent travail réalisé par Patrice Michellon dans son Guide GFX. Cette troisième version vaut tous les discours.